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 Le 27 novembre 1458

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Messages : 281
Date d'inscription : 26/06/2010
Localisation : Archiviste de la Halle de Bordeaux

Le 27 novembre 1458 Empty
MessageSujet: Le 27 novembre 1458   Le 27 novembre 1458 EmptySam 15 Jan - 15:45

Alonzo a écrit:
Aucune capitale digne de ce nom ne peut prétendre posséder que des rues enchantés. De grandes artères peuplé de riche commerçants ou de la noblesse du Royaume. Des parcs joliment fleuries ou se promènent les amoureux et ou les gamins, dont l’innocence n’est pas une comédie, joue au guerrier valeureux.
Il y aussi ces petites ruelles, habités par les rats et les ivrognes et les clochards. Ces petites ruelles qui peuvent vous menés dans l’arrière salle d’une taverne ou l’ont vous fera perdre vos écus dans des parties de carte ou de dés truqués. Ou encore dans une simple impasse ou vous serez cordialement accueillit par la vermine que le reste de la ville ne veut pas voir, et qui vous mettra une dague sous la gorge pour vous demandé l’aumône.
Dans ces ruelles ont peut tous trouvé ou presque, de la vinasse au crue assez discutable, aux hommes de mains embauché à prix d’or pour votre prochain coup, en passant par des outils de fabrication artisanal avec lesquels vous trouverez une utilisation bien plus rentable que celle de labourer votre champ.
Alors si vous avez envie d’un peu de frisson, ou si vous ne savez pas quoi faire de votre fortune, venez faire un tour dans les sales ruelles de Bordeaux. Nous serons vous y accueillir, et peut être même que n’en ressortirez jamais.

--beggar a écrit:
Ce matin là, il s’était levé avec une sacrée gueule de bois. C’est qu’il en avait prit une belle la veille.
En effet, c’est pas tous les jours qu’il amassait autant d’écus en une seul fois, hier il avait mendier au pied de la taverne municipal et ca avait plutôt bien marché. Surement la magie de noël qui commencer à ouvrir le cœur des passant, à vrai dire, il s‘en foutait pas mal, le temps que ca paye bien...
Une fois sa journée terminé il avait décidé d’aller se réchauffer un peu devant un bon pichet de vin dans cette même taverne. Le bon gout du vin de Bordeaux et la chaleur de la cheminé n’avait pas été de trop pour lui faire dépenser tous ce qu’il avait gagné l’après midi même. Le brave gars était repartit complètement plein pour aller s’endormir comme une loque dans la ruelle d’à coté.

Bref, ce matin là, il s’était levé avec une sacrée gueule de bois et il comptait bien remettre ca.
Il fallait pas perdre de temps et retourné illico devant la taverne pour recommencé à mendier en espérant que les Bordelais serait aussi généreux que la veille. Apres s’être levé tant bien que mal, il pris la direction de son … lieu de travail.
Une fois sur place, il aperçus la mauvaise surprise. Un bouseux en haillons cradot était déjà là, devant sa taverne, à sa place. Il en fallait pas plus au mendiant pour qu’il voit rouge et qu’il oublie son énorme migraine.
Bien en rogne, il prit la premier chose qu’il lui passait sous la main et se dirigeait vers l’opportun…


Pis quoi encore, kèsèk'tu fait là toi !!!
Vire moi d'là tous d’suite…

--l_opportun a écrit:
Un vrai petit coin de paradis cette ville, un bouseux du Périgord avait passé les remparts de Bordeaux la veille au soir avec pour idée celle de faire fortune sur la tête de ces voisins de Guyenne.
Il passait la nuit à déambuler dans les rues de la cité espérant trouvé ou se loger à moindre cout, c’est-à-dire gratuitement. Ce bouseux, fidèle aux niveau d’intelligence de ceux occupant la terre qui l’avait vus naitre, n’était même pas foutu de trouvé une échoppe en ruine ou une demeure abandonné pour se réchauffé et y passé la nuit.
Il continuait de marché, la tête baissé, les pied trainant sur le sol à écouté son estomac lui crier famine. Et commencé à ce demande qu’elle idée farfelue l’avez poussé à venir ici, à se dire qu’il réussirait surement plus facilement ici et que l’herbe était plus verte chez son voisin Guyennois.
Plus le temps passait et plus son périple devenait fatiguant, il décida de se reposer un peu devant une auberge luxueuse au volet clos ou une lanterne rouge trônais devant la porte. Des hommes y entraient et sortaient sans cesse, mais la maitresse de maison n’était pas dupe et ne laissait pas pénétré entre ces murs n’importe quel vieux gras bedonnant en mal d’affection. Apres avoir passé la majeur partie de la nuit devant cette maison close à regardé les riche Bordelais venir prendre du bon temps, et d’autre repartir en bougonnant ce dirigeant vers les bas fond de la ville ou peut être trouverait-il de quoi laissé parlé leur testostérone, le bouseux aperçus les première lueur du soleil.
Ronger par la faim, le froid et la fatigue, il avait décidé de ranger sa fierté et de faire appel aux âmes charitable de Bordeaux. Apres avoir marché un peu pour se dégourdir les jambes, il prit place devant une taverne, s’asseya en espérant arraché une pièce ou deux au bon cœur des commerçants et des passants matinaux.
A peine sur place, n’ayant même pas eu le temps de récolter un denier, il aperçus un homme à l’air hargneux se dirigé vers lui en titubant et en hurlant…


Pis quoi encore, kèsèk'tu fait là toi !!!
Vire moi d'là tous d’suite…


Sans trop comprendre ce qui était en train de se passé, le bouseux resta sans bouger, l’air hébété, en regardant le mendient s’approché de lui

Zyg a écrit:
enfin le voyage arriva a terme cette route si longue depuis chinon mavait epuisée
ma premiere pensée etait de me reposée afin de reprendre des force et enfin de m installée a bordeaux

la nuit etait deja bien avancée les ruelles devenant de plus en plus sombres, troublante ,eceurante de puanteur j avais hate d arrivée a l auberge municipale qui devait me logée et , ou sam devait m attendre impatiente

enfin j apercue une enseigne encore allumée oui c etais la l escale bordelaise d un pas rapide je m avancais je vis une pauvre cloche qui mendiait
mon regard resta un moment sur ce pauvre homme priant qu il me laisse passée sans me touchée

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